top of page
visuelGiono Théophane Bouyer - copie.jpg

L'homme qui plantait des arbres

Adaptation théâtrale, d’après le roman de Jean Giono

augmenté de poèmes de Jules Supervielle, Roberto Juarroz et Tomas Tranströmer,
et d’une parodie de discours politique sur l’écologie.


La compagnie Les Bienveillantes propose une nouvelle lecture du roman de Jean Giono, et invite le spectateur à suivre les pas d’un homme à la recherche de son humanité à travers les affres du vingtième siècle et de ce début du vingt-et-unième.

Une forme de quête initiatique dans laquelle le rapport d’un homme à la nature, et à sa propre existence, va se modifier, au gré de sa rencontre plusieurs fois répétée, durant plusieurs décennies, avec un berger planteur d’arbres, de sa confrontation à la guerre, aux guerres, et à la violence du monde.

 

Comment composer avec cette brutalité, avec la mort d’êtres aimés, et avec des modes de vie destructeurs qui pourraient mener le monde à sa perte ?

voisinage - copie.jpg

Le personnage / narrateur de cette histoire va convoquer ce qui peut l’aider à traverser les épreuves : la poésie comme transcendance du malheur, ou l’humour comme échappatoire à la morosité, au moyen d’un pastiche de discours politique contemporain de notre époque sur
l’écologie.

traversée - copie.jpg

Le comédien François Périssat, le metteur en scène Arnaud Frémont, et le créateur lumière Manolo Guízar ont allié leurs savoir-faire afin de créer un spectacle interrogeant la société contemporaine, au jeu énergique et aux images fortes dont le spectateur sort touché.

bottom of page